While relatively inexpensive themselves, the indirect costs of laxatives include: pharmacy inventory management and distribution; nursing administration time; a contribution to polypharmacy; and downstream investigations (eg, Clostridium difficile testing) in the case of laxative-induced diarrhea. Evidence supporting the efficacy of certain laxatives is lacking, particularly docusate sodium/calcium.
These medications contribute to inpatient pill burden, which is particularly troublesome in cases of polypharmacy or in patients who have difficulty swallowing. Moreover, docusate use was perpetuated into the community in nearly 50% of patients. Since all medications are usually given equal urgency on most exit prescriptions, the pill burden caused by docusate products may increase the chance of nonadherence to other more important medications. Furthermore, some of these patients will become long-term users. While this may seem like a minor issue, the societal costs are striking, when taking into account the frequency of outpatient laxative use. Among the 2.8 million governmentally-insured beneficiaries in the province of Ontario (population 13.6 million), spending on laxatives exceeded $28 million Canadian dollars (CAD) in 20126 with nearly $9.7 million (CAD) spent on stool softeners, including docusate. A loose extrapolation to North America would suggest spending on docusate products is easily hundreds of millions of dollars.
There is now evidence demonstrating
that docusate is ineffective
for the treatment of
constipation.1
It is time to stop a habitual practice that is wasteful
and harmful to patients.
Docusate has not been proven effective in any
well-designed or placebo-controlled trials.
Docusate is nomore effective
than placebo when added to sennosides for the
management of constipation in hospice patients. As for the
commonly-held belief that docusate reduces the incidence of
cramps in the treatment of constipation, a study of hospitalized
patients diagnosed with cancer treated using a protocol
of sennosides alone vs a protocol of sennosides plus docusate
(with an initial docusate-only phase) found no difference
between the 2 protocols in the incidence of cramps.
It is a burdensome
medication for many patients—especially those who are
ill and already suffering from dysphagia, nausea, poor appetite,
polypharmacy, or confusion regarding their medications.
Docusate comes as a large capsule or solution, and a
therapeutic dose requires patients to take multiple capsules
per day. The common workaround of mixing the medication
into juice or applesauce does not work with docusate because
of its unpalatable taste and lingering aftertaste. Docusatemay
affect the absorption of othermedications, and is best
taken 2 hours away from other medications. The most important
unintended downstream consequence of docusate is that
it delays more effective interventions to relieve constipation.
In addition, other consequences include patient refusal of other
medications owing to pill burden, decreased appetite and oral
intake owing to the persistent aftertaste, and activities curtailed
owing to the need for frequent medication administration.
Tiré de JAMA Internal Medecine
http://jamanetwork.com.acces.bibl.ulaval.ca/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2528288
file:///C:/Users/xduser/Downloads/ild160029%20(1).pdf
30 octobre 2016
29 octobre 2016
Gestion du monitorage des valeurs de laboratoire
Projet fait par des étudiants pour nous aider dans le cadre de la Loi 41.
http://labosloi41.info/
http://labosloi41.info/
Faut-il que la dose de progestatif soit proportionnelle à la dose d’œstrogènes?
Posologie recommandée et ajustement posologique
En général, la posologie de PROMETRIUM (progestérone micronisée) est de 200 mg par jour pendant les 14 derniers jours de l'œstrogénothérapie, et ce, pour chaque cycle (c'est-à-dire du 8e au 21e jour pour un cycle de 28 jours, et du 12e au 25e jour pour un cycle de 30 jours). Les œstrogènes devraient être administrés chaque jour à la plus faible dose qui soit efficace. Les patientes traitées à l'aide de fortes doses d'œstrogènes (soit l'équivalent de 1,25 mg ou plus d'œstrogènes conjugués) devraient recevoir 300 mg de progestérone par jour pendant les 12 à 14 derniers jours de l'œstrogénothérapie.
La dose de PROMETRIUM prescrite doit être proportionnelle à celle des œstrogènes. Une posologie bien adaptée devrait se traduire soit par des hémorragies de privation survenant à intervalles réguliers, soit par l'arrêt des saignements (aménorrhée).
Une patiente qui reçoit habituellement 200 mg par jour de progestérone (dose totale prise au coucher) et qui, un soir, oublie de prendre son médicament doit prendre une capsule de plus (100 mg) le lendemain matin et continuer à prendre les autres capsules suivant les recommandations de son médecin. Une patiente qui reçoit normalement 300 mg par jour de progestérone et qui omet de prendre la dose du matin ou du soir ne doit pas prendre la dose oubliée.
La dose de 200 mg par jour de PROMETRIUM doit être prise au coucher. Les patientes auxquelles on a prescrit 300 mg de PROMETRIUM par jour devraient prendre une capsule (100 mg) le matin et deux capsules (200 mg) au coucher. La dose du matin devrait être prise 2 heures après le petit-déjeuner.
Tiré de RxTx
15 septembre 2016
Stabilité du Mekinist et du Beteflam
Stabilité du Mekinist
Le Mekinist 2 mg doit être conservé au réfrigérateur entre 2 et 8 degrés Celsius afin de rester stable jusqu'à la date d'expiration indiquée sur la bouteille originale.
Entre -20 et 2 degrés Celsius, sa stabilité est de 7 jours (168 heures).
Entre 9 et 25 degrés Celsius, elle est de 30 jours (720 heures).
Entre 26 et 30 degrés Celsius, elle est de 2 jours (48 heures).
Le Mekinist 2 mg doit être conservé au réfrigérateur entre 2 et 8 degrés Celsius afin de rester stable jusqu'à la date d'expiration indiquée sur la bouteille originale.
Entre -20 et 2 degrés Celsius, sa stabilité est de 7 jours (168 heures).
Entre 9 et 25 degrés Celsius, elle est de 30 jours (720 heures).
Entre 26 et 30 degrés Celsius, elle est de 2 jours (48 heures).
Lorsqu'on appelle au centre d'assurance-qualité de la compagnie Novartis, il faut avoir en main:
- Numéro de lot et date d'expiration indiquée sur la bouteille originale
- Durée que le médicament est resté à température ambiante
- Température au moment que le médicament n'était pas réfrigéré
Référence: Département d'Assurance-qualité de Novartis Pharma Canada inc., 9 août 2016.
Stabilité du timbre Beteflam
La portion inutilisée d'un timbre Beteflam coupé peut être remise et conservée dans son emballage original jusqu'à la date d'expiration. On recommande toutefois de l'utiliser la prochaine dose ou le plus rapidement possible.
Référence: Appel téléphonique avec représentante de Cipher, septembre 2016.
Rédigé par Stéphanie Leung Lung Yuen, étudiante en pharmacie
14 août 2016
Prise en charge Diabète
Lors de l’évaluation initiale: histoire pharmacothérapeutique, vérifier l’expérience de ce dernier avec le diabète (depuis combien de temps est-il diabétique? connaît-il sa maladie et ses cibles glycémiques? etc.), si les cibles glycémiques sont atteintes et si la protection cardiovasculaire et les habitudes de vie sont optimales.
Volet du suivi | Éléments à vérifier |
Cibles glycémiques |
|
Protection cardiovasculaire |
|
Habitudes de vie |
|
L’autosurveillance glycémique, notamment la nécessité d’utiliser un moniteur de glycémie, la façon de l’utiliser et d’interpréter les résultats. Enseigner aux patients comment détecter et gérer une hypoglycémie. S’assurer également que le statut vaccinal du patient est à jour.
Pour suivre un patient diabétique, les analyses de laboratoire suivantes: glycémie plasmatique à jeun, hémoglobine glyquée, bilan lipidique et clairance à la créatinine.
Rencontres de suivi
Lors d’une rencontre de suivi, il regarde si le patient a été capable de mettre en place les changements inscrits dans son plan d’action, s’il a atteint ses cibles glycémiques et sa satisfaction générale.
Il vérifie aussi s’il présente certaines lacunes, par exemple en ce qui a trait à l’autosurveillance de la glycémie, aux techniques d’injection d’insuline ou à la gestion des épisodes d’hypoglycémie. Il refait de l’enseignement au besoin.
Il peut aussi renseigner le patient sur les soins des pieds, et un proche aidant sur l’utilisation d’une trousse de glucagon si elle est requise pour traiter une hypoglycémie.
Tiré de Profession Santé
13 août 2016
Petits rappels sur l'hypoglycémie
Sécrétagogues de l’insuline | ||||||||
Sulfonylurées | Méglitinides | |||||||
|
|
Avec les insulines basales de première génération (Humulin N, Novolin ge NPH), des patients pourraient présenter des hypoglycémies nocturnes. Une hyperglycémie au lever, le matin, peut être un signe d’hypoglycémie nocturne, d’où l’importance que les patients ayant une insuline basale au coucher, surtout pour les insulines intermédiaires, vérifient leur glycémie à 3 heures du matin pour vérifier s’ils ont fait une hypoglycémie nocturne.
D’autres causes d’hypoglycémie:
- un patient qui ne mange pas à des heures fixes, en particulier ceux qui utilisent des médicaments de première génération (glyburide, Humulin R, Novolin ge Toronto);
- un patient qui mange une quantité moindre de nourriture à un repas ou qui omet un repas;
- un patient qui pratique une activité physique prévue sans avoir pensé à réduire sa dose d’insuline;
- un patient qui s’injecte une dose d’insuline dans le membre qui sera sollicité durant l’activité physique;
- un patient qui s’est injecté par erreur une dose plus élevée d’insuline que celle prescrite;
- un patient qui s’est injecté de l’insuline rapide au coucher, parce qu’il a placé par erreur ce type d’insuline dans son auto-injecteur au lieu d’une insuline basale;
- un patient prenant des corticostéroïdes dont la dose est réduite sans un ajustement de la dose d’insuline ou des hypoglycémiants oraux;
- la prise d’alcool à jeun avec les insulines et les sécrétagogues.
On peut parler d’une hypoglycémie chez un patient lorsque sa glycémie est inférieure à 4 mmol/L et qu’il présente des symptômes d’hypoglycémie.
Les symptômes d’une hypoglycémie sont variables d’un patient à un autre. Ils dépendent de sa glycémie. Normalement, un patient peut présenter des tremblements, des palpitations, des sueurs froides, avoir faim, des nausées, une sensation de mal intérieur (anxiété). Plus les glycémies seront à la baisse, plus le patient peut avoir mal à la tête, des modifications de la vision ou des difficultés de concentration, de la faiblesse, de la somnolence, de la fatigue.
Les symptômes se présentent différemment chez un patient nouvellement diagnostiqué diabétique par rapport à celui dont le diagnostic est établi de longue date. Les symptômes sont variables dans le temps. Au début, ce sont davantage des symptômes autonomes neurogènes (tremblements, palpitations, sueurs, anxiété) que le patient présente et qui au fil des années s’estomperont pour faire place davantage à des symptômes neuroglycopéniques comme des difficultés de concentration, de la confusion, des céphalées.
Prise en charge d’une hypoglycémie
Dès que le patient ressent des symptômes d’hypoglycémie, il doit prendre sa glycémie pour confirmer qu’il est en présence d’une hypoglycémie.
Si sa glycémie se situe entre 3 mmol/L et moins de 4 mmol/L, le patient doit prendre 15 g de glucose: soit des comprimés de glucose, du liquide (3/4 de tasse de boisson gazeuse régulière ou de jus de fruits) ou d’aliments (15 ml de miel ou de sirop d’érable). Pour une glycémie inférieure à 3 mmol/L, la dose recommandée de glucides est de 20 g.
Quinze minutes après l’ingestion de la dose de glucose, le patient doit reprendre sa glycémie pour vérifier si elle est supérieure à 4 mmol/L. Si ce n’est pas le cas, il devra reprendre un autre 15 g de glucide.
Une fois que la glycémie est corrigée, soit supérieure à 4 mmol/L, le patient doit prévenir la réapparition d’une hypoglycémie. Par conséquent, s’il ne prévoit pas manger dans l’heure suivant le retour à la normale de sa glycémie, il devra prendre une collation contenant 15 g de glucides et une source de protéine.
En cas de perte de conscience, du glucagon doit lui être administré. Le patient risquerait de s’étouffer avec la prise de glucose.
Un patient ne devrait jamais se coucher sans avoir corrigé une hypoglycémie. En plus d’une collation (glucides et protéines), il devrait revérifier sa glycémie à 3 heures du matin.
http://guidelines.diabetes.ca/ressourcesfrancaises
Tiré de Profession Santé
16 juillet 2016
Les ingrédients de la crème solaire
Ingrédients à rechercher
|
Parsol 1789 ou avobenzone avec Mexoryl (SX et XL) ou octocrylène
Tinosorb (ou bemotrizinol)
Oxyde de zinc
Dioxyde de titane (innocuité incertaine)
|
Ingrédients à éviter
|
Oxybenzone (BP-3 ou BZ-3)
Benzophénones (BP-1, BP-2, BP-3 ou BZ-3, Escalol 567, Uvinul M40, Uvasorb Met)
Octyl-méthoxycinnamate (OMC)
4-méthylbenzylidène camphre (4-MBC)
3-benzylidène camphre (3-BC)
PABA (la majorité des produits solaires n’en contiennent plus)
|
Tiré de Passeport Santé
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/ArticleComplementaire.aspx?doc=protection_solaire_toxicite_do
Ingrédients à privilégier :
- Parsol 1789 ou avobenzone avec Mexoryl (SX et XL) ou octocrylène
- Tinosorb (ou bemotrizinol)
- Oxyde de zinc
- Dioxyde de titane
- À privilégier également : porter un chapeau et des lunettes lors d’exposition entre 10 et 14 h. N’oubliez pas d’appliquer de la crème solaire régulièrement, et de 15 à 30 minutes avant de s’exposer. Il faut également réappliquer de la crème solaire après la baignade ou une activité intense.
- Pour les bébés de plus de six mois et les enfants une protection minéral (Oxyde de zinc ou dioxyde de titane)
Ingrédients à éviter :
- Oxybenzone
- Retinyl palmitate
- Benzophénones
- Octyl-méthoxycinnamate (OMC)
- Méthylbenzylidène camphre (4-MBC)
- Benzylidène camphre (3-BC)
- PABA (acide para-amonibenzoïque)
- Produits parfumés
- Les écrans solaires en aérosol (on est plus susceptible de respirer des produits chimiques qui pénètrent profondément dans les poumons)
- Un SPF supérieur à 50
Tiré du site de Météomédia
https://www.meteomedia.com/nouvelles/articles/creme-solaire-les-pires-ingredients-a-eviter/51752
Stratégies pour une bonne nuit de sommeil
Stratégies pour une bonne nuit de sommeil | |||
Qu'est-ce que l'insomnie?L'insomnie est un problème courant. Les personnes insomniaques éprouvent une difficulté à s'endormir ou à rester endormies. Un manque de sommeil chez ces personnes peut provoquer une somnolence pendant la journée. L'insomnie peut être de courte ou de longue durée. L'insomnie peut affecter le travail, la scolarité, la vie sociale et la santé. Les affections qui peuvent provoquer ou aggraver l'insomnie sont la dépression, l'anxiété, les allergies et la douleur. L'insomnie peut également survenir à cause de mauvaises habitudes de sommeil. Comment traiter l'insomnie?Les adultes insomniaques peuvent utiliser des médicaments sur ou sans ordonnance pour lutter contre l'insomnie. Cependant, les médicaments sans ordonnance utilisés pour le sommeil (diphenhydramine [Benadryl]) peuvent aggraver l'insomnie chez les enfants. Il vaut mieux examiner la cause de l'insomnie avant d'amorcer un traitement médicamenteux. Une bonne façon de commencer est de noter dans un agenda les habitudes de sommeil pendant une à deux semaines. Le fait de noter par exemple la durée de sommeil, l'apport en caféine et en alcool peut fournir de précieux indices. Modifier ces comportements pourrait suffire à mieux dormir. En maintenant de bonnes habitudes de sommeil (hygiène de sommeil), il est possible de ne pas prendre de médicaments. Chez les enfants, maintenir des horaires réguliers de sommeil et un rituel apaisant à l'heure du coucher peut aider à lutter contre l'insomnie. BONNES HABITUDES DE SOMMEIL
Que faire lorsque les bonnes habitudes de sommeil ne fonctionnent pas?Si vous ou votre enfant n'arrivez pas à dormir une nuit complète, et ce, même en ayant de bonnes habitudes de sommeil, discutez-en avec votre pharmacien ou un autre professionnel de la santé. Il saura déterminer la cause de votre insomnie. Un médicament pourrait être nécessaire. Même si un médicament est utilisé pour vaincre l'insomnie, il faut toujours maintenir de bonnes habitudes de sommeil. Tiré du Pharmacist's letter, mars 2012 |
15 juillet 2016
Allergie à la pénicilline
Up to 90% of patients who say they're allergic to penicillin really aren't. They confuse with side effects. But even many patients who are allergic can take a cephalosporin. Only 2% with a positive skin test react to a cephalo and this drops to 0.1% if the initial reaction was mild.
Nonsevere allergy. Feel comfortable recommending a cephalo if the reaction was just a minor, non-itchy rash especially if it occured over 10 years ago.
Suggest cefuroxime for otitis or sinusitis.
Recommend cephalexin for strep.
Avoid cefprozil or cefadroxil, because these have the same side chain.
Tiré de Pharmacist's Letter octobre 2013
Nonsevere allergy. Feel comfortable recommending a cephalo if the reaction was just a minor, non-itchy rash especially if it occured over 10 years ago.
Suggest cefuroxime for otitis or sinusitis.
Recommend cephalexin for strep.
Avoid cefprozil or cefadroxil, because these have the same side chain.
Tiré de Pharmacist's Letter octobre 2013
"Urgence" hypertensive
Si pression au-dessus de 180/120:
AUCUN symptômes:
-pas de patho particulière: consulter d'ici quelques semaines
-si insuffisance cardiaque, angine ou maladie rénale: consulter d'ici quelques jours
Avec symptômes suivants URGENCE:
-douleur rétro-sternale
-souffle court
-confusion
-céphalée sévère AVEC changement de vision
Texte complémentaire juillet 2016
http://www.ems1.com/cardiac-care/articles/106579048-New-study-Hypertension-itself-is-not-an-emergency/
A study published online in the Annals of Emergency Medicine suggests that high blood pressure itself, unless paired with traditional symptoms of stroke, renal failure or heart failure were unlikely to warrant visits to the ER.
Patients should be aware that unless their high blood pressure coincides with symptoms of a medical emergency, such as chest pain, severe headache, nausea or shortness of breath, they probably do not need to visit the ER.
Tiré du Pharmacist's Letter. Avril 2014
AUCUN symptômes:
-pas de patho particulière: consulter d'ici quelques semaines
-si insuffisance cardiaque, angine ou maladie rénale: consulter d'ici quelques jours
Avec symptômes suivants URGENCE:
-douleur rétro-sternale
-souffle court
-confusion
-céphalée sévère AVEC changement de vision
Texte complémentaire juillet 2016
http://www.ems1.com/cardiac-care/articles/106579048-New-study-Hypertension-itself-is-not-an-emergency/
A study published online in the Annals of Emergency Medicine suggests that high blood pressure itself, unless paired with traditional symptoms of stroke, renal failure or heart failure were unlikely to warrant visits to the ER.
Patients should be aware that unless their high blood pressure coincides with symptoms of a medical emergency, such as chest pain, severe headache, nausea or shortness of breath, they probably do not need to visit the ER.
Tiré du Pharmacist's Letter. Avril 2014
04 juin 2016
Petit rappel Insuffisance cardiaque
Fraction d'éjection normale: entre 50 et 70.
Insuffisance cardiaque: sous 40.
Niveau 1: 30 minutes d'entrainement ok
Niveau 2: légères limitations
Niveau 3: limitations marquées
Niveau 4: limitations sévères AVQ
Insuffisance cardiaque: sous 40.
Niveau 1: 30 minutes d'entrainement ok
Niveau 2: légères limitations
Niveau 3: limitations marquées
Niveau 4: limitations sévères AVQ
Mise au point au sujet de l'antibiothérapie prophylactique chez les patients ayant subi une arthroplastie totale du genou ou de la hanche et devant subir des interventions dentaires
Fiche de l'Ordre des Dentistes du Québec
http://www.odq.qc.ca/portals/5/fichiers_publication/politiques/odq_antibiotherapie_fb.pdf
http://www.odq.qc.ca/portals/5/fichiers_publication/politiques/odq_antibiotherapie_fb.pdf
Ampoule de lait et Lécithine
Tiré du site de la Ligue de la Leche
La lécithine est un supplément alimentaire qui semble aider certaines mères à prévenir les canaux lactifères bloqués. Elle peut agir ainsi en diminuant la viscosité du lait, en augmentant le pourcentage d’acides gras polyinsaturés dans le lait. Elle est sécuritaire, peu coûteuse, et semble fonctionner dans certains cas. La dose est 1200 mg, quatre fois par jour. Il n’y a pas d’autre traitement préventif contre les canaux bloqués que la lécithine.
La lécithine est un supplément alimentaire qui semble aider certaines mères à prévenir les canaux lactifères bloqués. Elle peut agir ainsi en diminuant la viscosité du lait, en augmentant le pourcentage d’acides gras polyinsaturés dans le lait. Elle est sécuritaire, peu coûteuse, et semble fonctionner dans certains cas. La dose est 1200 mg, quatre fois par jour. Il n’y a pas d’autre traitement préventif contre les canaux bloqués que la lécithine.
28 janvier 2016
L'impact de l'alcool sur la glycémie
Doit-on bannir complètement l'usage de l'alcool chez le patient diabétique? Cette question est pertinente lorsqu'on considère que l'ingestion d'alcool peut produire des hyperglycémies et des hypoglycémies, masquer les symptômes d'hypoglycémie et augmenter les corps cétoniques. Également, l'alcool contient des calories et peut donc amener un gain de poids.
Cependant, les recommandations quant à la consommation d'alcool sont les mêmes que pour la population générale soit un maximum de 2 consommations par jour et de 10 par semaine pour les femmes et de 3 consommations par jour et de 15 par semaine pour les hommes.
Une consommation modérée d'alcool a même été associée à certains bénéfices. En effet, elle diminuerait le risque de maladie coronarienne chez le diabète de type 2. La consommation modérée de vin rouge pendant 12 mois diminuerait le stress oxydatif et l'inflammation associés à l'infarctus du myocarde. Chez les personnes atteintes d'une pathologie rénale, elle permet aussi de protéger les reins. De plus, une consommation faible ou modérée diminue l'hémoglobine glyquée.
Par contre, une consommation élevée et fréquente augmente la tension artérielle et le taux de triglycérides sanguins chez les patients atteints de diabète de type 2. L'acuité visuelle diminue plus la consommation augmente, sans que la rétinopathie ne s'aggrave.
Comment l'alcool peut-il causer à la fois une hyperglycémie et une hypoglycémie ? En fait, l'alcool ne cause habituellement ni d'hypoglycémie ni d'hyperglycémie si elle est consommée avec un repas. Les boissons alcoolisées peuvent cependant contenir une quantité impressionnante de glucose ce qui peut causer une hyperglycémie momentanée.
Toutefois, chez les diabétiques de type 1 et les diabétiques de type 2 traités avec des sulphonylurées, des méglitinides ou de l'insuline, une consommation modérée d'alcool au souper ou 2 à 3 heures après le souper peut produire une hypoglycémie le lendemain matin ou même jusqu'à 24 heures après la prise. Aussi, l'activité physique peut augmenter le risque d'hypoglycémie.
Une hypoglycémie sous consommation d'alcool chez une personne non diabétique est peu fréquente, mais peut être anticipée chez un individu avec un problème d'usage abusif ayant également un faible statut nutritionnel ou une dysfonction hépatique sévère.
Bref, l'alcool peut être incorporé au plan de repas du diabétique de type 1 et 2 seulement si leur glycémie et leur taux de lipides sont bien contrôlés et qu'il n'ont pas d'autres contre-indications à la prise d'alcool (ex. maladie hépatique sévère, grossesse,etc.). Les individus qui sont traités
à l'aide de sulfonylurées, d'insuline ou de méglitinides devraient consommer de la nourriture lorsqu'ils consomment de l'alcool afin de diminuer le risque d'hypoglycémie retard.
Références :
Comité d'experts des lignes directrices de pratique clinique de l'Association canadienne du diabète. Canadian Journal of Diabete. p.74. Octobre 2013
Hopkins, Maryann. E-CPS. Prise en charge du diabète. Pharmacothérapie. Alcool. Consulté le 12-01-2016 [web] https://www-e-therapeutics-ca.acces.bibl.ulaval.ca/search?lang=fr
Steiner, Crowell et LAng, Impact of alcohol on glycemic control and insulin action. Consulté le 12-01-2016 [Web] http://www.ncbi.nlm.nih.gov.acces.bibl.ulaval.ca/pmc/articles/PMC4693236/
Rédigé par Camille Tremblay-Payeur, étudiante en pharmacie
Une consommation modérée d'alcool a même été associée à certains bénéfices. En effet, elle diminuerait le risque de maladie coronarienne chez le diabète de type 2. La consommation modérée de vin rouge pendant 12 mois diminuerait le stress oxydatif et l'inflammation associés à l'infarctus du myocarde. Chez les personnes atteintes d'une pathologie rénale, elle permet aussi de protéger les reins. De plus, une consommation faible ou modérée diminue l'hémoglobine glyquée.
Par contre, une consommation élevée et fréquente augmente la tension artérielle et le taux de triglycérides sanguins chez les patients atteints de diabète de type 2. L'acuité visuelle diminue plus la consommation augmente, sans que la rétinopathie ne s'aggrave.
Comment l'alcool peut-il causer à la fois une hyperglycémie et une hypoglycémie ? En fait, l'alcool ne cause habituellement ni d'hypoglycémie ni d'hyperglycémie si elle est consommée avec un repas. Les boissons alcoolisées peuvent cependant contenir une quantité impressionnante de glucose ce qui peut causer une hyperglycémie momentanée.
Toutefois, chez les diabétiques de type 1 et les diabétiques de type 2 traités avec des sulphonylurées, des méglitinides ou de l'insuline, une consommation modérée d'alcool au souper ou 2 à 3 heures après le souper peut produire une hypoglycémie le lendemain matin ou même jusqu'à 24 heures après la prise. Aussi, l'activité physique peut augmenter le risque d'hypoglycémie.
Une hypoglycémie sous consommation d'alcool chez une personne non diabétique est peu fréquente, mais peut être anticipée chez un individu avec un problème d'usage abusif ayant également un faible statut nutritionnel ou une dysfonction hépatique sévère.
Bref, l'alcool peut être incorporé au plan de repas du diabétique de type 1 et 2 seulement si leur glycémie et leur taux de lipides sont bien contrôlés et qu'il n'ont pas d'autres contre-indications à la prise d'alcool (ex. maladie hépatique sévère, grossesse,etc.). Les individus qui sont traités
à l'aide de sulfonylurées, d'insuline ou de méglitinides devraient consommer de la nourriture lorsqu'ils consomment de l'alcool afin de diminuer le risque d'hypoglycémie retard.
Références :
Comité d'experts des lignes directrices de pratique clinique de l'Association canadienne du diabète. Canadian Journal of Diabete. p.74. Octobre 2013
Hopkins, Maryann. E-CPS. Prise en charge du diabète. Pharmacothérapie. Alcool. Consulté le 12-01-2016 [web] https://www-e-therapeutics-ca.acces.bibl.ulaval.ca/search?lang=fr
Steiner, Crowell et LAng, Impact of alcohol on glycemic control and insulin action. Consulté le 12-01-2016 [Web] http://www.ncbi.nlm.nih.gov.acces.bibl.ulaval.ca/pmc/articles/PMC4693236/
Rédigé par Camille Tremblay-Payeur, étudiante en pharmacie
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