29 novembre 2006

Complément d'information sur le Flomax CR

Selon la compagnie Boehringer Ingelheim, les comprimés de Flomax CR ne devraient pas être sortis de leur emballage à l'avance.

Raison invoquée: aucune étude ne vient appuyer la stabilité du produit une fois sorti de son emballage. Il ne s'agit pourtant pas d'une forme fondante, comme le Zyprexa Zydis par exemple, mais bien d'un comprimé à libération contrôlée. De plus, la compagnie n'en fait même pas mention dans la monographie du produit.

Mais les représentants et la madame de l'information médicale étaient formels: pas question de les déballer pour les mettre dans une dosette ou un dispill... À vous de juger !

25 novembre 2006

Adalat XL au coucher

Un représentant pharmaceutique de Bayer a récemment amené à ma pharmacie un article portant sur différentes études mesurant l'effet du moment de prise des antihypertenseurs sur le cycle circadien de la tension artérielle.

Selon l'article, intitulé Administration-time-dependent effects of antihypertensive treatment on the circadian pattern of blood pressure, l'administration de l'Adalat XL au coucher serait avantageuse.

80 patient hypertendus ont reçu de l'Adalat XL pendant 8 semaines, au lever ou au coucher. La dose de départ était de 30 mg DIE, mais pouvait être augmentée à 60 mg DIE lorsque la TA n'était pas assez contrôlée. La réduction de TA après 8 semaines avec la dose de 30 mg était légèrement, mais non significativement, plus marquée avec l'administration au coucher. Les patients recevant la dose de 60 mg, pour leur part, ont vu l'efficacité de la nifédipine doubler avec la dose au coucher comparativement à la dose au lever.

De plus, l'administration HS de l'Adalat XL a mené à une diminution de l'incidence d'oedème de 91% et du nombre d'effets secondaires totaux de 74%.

Ainsi, autant pour l'efficacité que pour le profil d'effets indésirables, il pourrait être bien de conseiller à nos patients de prendre leur Adalat XL au coucher plutôt que le matin.

23 novembre 2006

Mangeons tous comme des Grecs...

Les maladies coronariennes sont moins courantes dans les pays méditéranéens que dans la plupart des autres pays industrialisés. L'alimentation y est certes pour quelque chose et des chercheurs se sont intéressés à mesurer les effets à court terme du régime alimentaire méditéranéen sur les marqueurs de risques cardiovasculaires.

L'étude randomisée et multicentre, publiée dans le Annals of Internal Medicine dura 3 mois et impliqua 772 patients à haut risques cardiovasculaires, mais sans antécédents de maladie coronarienne. Les patients furent répartis en 3 groupes: diète faible en gras, diète méditéranéenne avec huile d'olive (1 litre par semaine)et diète méditéranéenne avec noix (30 grammes par jour).

Après 3 mois, les groupes sous diète méditéranéenne ont démontré de grandes améliorations au niveau de la pression systolique et diastolique, de la glycémie et du HDL par rapport au groupe sous la diète faible en gras. Le groupe sous diète faible en gras n'ont démontré aucun changement en ce qui a trait à la pression systolique. Les participants avec une hypertension préexistante et sous diète méditéranéeene sont ceux dont l'amélioration de la pression fut la plus marquée.

Les auteurs en concluent que les deux régimes méditéranéens sont plus efficaces qu'une simple diète faible en gras pour améliorer les facteurs de risque de maladies coronariennes après 3 mois. Ils concluent également que le taux plus élevé de gras de ces régimes n'a pas mené à un gain de poids.

Une étude plus longue et complète, intitulée PREDIMED (Prevención con Dieta Mediterránea), a présentement lieu et étudie les mêmes questions, mais à plus long terme, soit 4 ans. Elle permettra de voir si ces conclusions à court-terme se révèlent identiques à long-terme.

Pour plus de détails, voyez l'étude en cliquant ici.

16 novembre 2006

Bio-K+ VS C. Difficile

Bon, il y a un certain vent de panique au Québec présentement concernant la bactérie C. Difficile et certains patients vous poseront peut-être des questions sur le Bio-K+ qui a été publicisé comme pouvant aider à lutter contre cette bactérie. À ce sujet, je me suis dit que cet article paru sur passeportsante.net pourrait peut-être vous intéresser. Ça date de 2004, mais aucune nouvelle information n'a été dévoilée depuis ce temps. Je vous laisse vous-même juger de la pertinence des résultats.

Dans le cadre d’une étude menée auprès de patients de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, à Montréal, un probiotique aurait non seulement permis de réduire les diarrhées associées à la prise d’antibiotiques, mais il aurait aussi démontré une « forte tendance » à neutraliser la bactérie Clostridium difficile (C. difficile).

Ces résultats, rendus publics hier, ont été obtenus à l’issue d’une étude qui n’a été publiée dans aucune revue scientifique. Elle a été financée par la compagnie Bio-K+, de Laval, qui commercialise différents produits naturels, dont le CL1285TM qui a fait l’objet de l’étude. Il s’agit d’une formule concentrée de bactéries bénéfiques de type Lactobacillus acidophilus, vendue sous forme de lait ou de soya fermenté.

L’étude à double insu avec placebo a été menée auprès de 84 patients hospitalisés dont 90 % souffraient d’une infection des voies respiratoires supérieures. Tous traités par antibiotiques, les participants ont été sélectionnés entre l’automne 2003 et mai dernier, et séparés aléatoirement en deux groupes : ceux du premier recevaient la formule concentrée du CL1285 TM de façon préventive, tandis qu’on donnait un placebo à ceux du deuxième groupe.

Les résultats indiquent une diminution de 56 % des cas de diarrhée (7 cas de diarrhée sur les 41 patients du groupe traité contre 16 cas sur 43 dans le groupe placebo). Les auteurs de l’étude ont également remarqué une diminution de 20 % du nombre de jours d’hospitalisation (huit jours contre dix).

Plus important encore, le nombre de patients souffrant à la fois de diarrhée et de la bactérie C. difficile aurait été réduit de 86 %, grâce au probiotique. En effet, dans le premier groupe, un seul des sept patients indisposés par la diarrhée était infecté par la bactérie résistante, comparativement à sept participants sur 16 dans le groupe placebo.

Mise à jour du 18 novembre:

Bien que les résultats officiels ne soient toujours pas connus, voici quelques informations tirées de cyberpresse.ca sur l'étude effectuée en 2005 à l'Hôpital LeGardeur:

L'ordonnance permanente de probiotiques permettrait de prévenir l'éclosion de cas d'infection à la bactérie C. difficile, estime le microbiologiste Pierre-Jean Maziade.

Le médecin a mené une expérience couronnée de succès à l'Hôpital Pierre-Le Gardeur de Lachenaie, près de Montréal, qui fera bientôt l'objet d'une publication dans une revue spécialisée.

Près de 5000 patients à qui l'on devait administrer des antibiotiques ont reçu le probiotique entre février et août 2005.

Par la suite, l'incidence des cas sévères par 1000 admissions a chuté de 4,9 cas à 0,3 cas, en baisse de 94 pour cent, alors que l'établissement était aux prises avec la souche virulente de la bactérie, ayant fait 11 victimes à l'hôpital Honoré-Mercier.

[...]

Il reconnaît que le coût élevé du probiotique, à plus de 60 $ par mois, peut constituer un frein à son utilisation chez les personnes à faible revenu. Par contre, le Dr Maziade souhaite que la publication de son étude dans une revue scientifique contribue à la reconnaissance du probiotique comme médicament, dont le coût pourrait être couvert par le régime public.

Le microbiologiste fait remarquer que l'État y trouverait son compte, les cas d'infection à la bactérie C. difficile entraînant des coûts évalués à 8000 $ chacun, parce qu'ils nécessitent des traitements spécifiques et une hospitalisation prolongée.

Selon des précisions de Radio-Canada, l'étude aurait été réalisée sur 6000 patients et les cas totaux d'infection à la C. difficile ont diminué de 74 %, pendant qu'on observait une baisse de 94 % des cas sévères.

15 novembre 2006

Nouveauté: Prexige

Il est vrai que depuis le retrait du Vioxx et du Bextra, les options étaient plutôt limitées dans le monde des inhibiteurs sélectifs de la COX-2: Celebrex 100 et... Celebrex 200 ! Novartis lancera donc, d'ici la fin du mois de novembre, un nouveau COX-2: le Prexige (lumiracoxib). Voyez le communiqué de presse en cliquant ici.

Le Prexige, pour l'instant, n'est approuvé par Santé Canada que pour soulager les symptômes de l'arthrose du genou. Il sera offert en comprimés de 100 mg; la posologie suggérée est justement de 100 mg une seule fois par jour.

Côté innocuité, Novartis a vraiment tout fait pour rassurer les prescripteurs: "Prexige possède l'une des plus importantes bases de données appuyant le lancement d'un AINS, avec des résultats d'études cliniques portant sur plus de 34 000 patients. Cela comprend l'étude TARGET (inclaunt 18 325 patients) [...] il n'a été noté aucune différence significative en matière de risques cardiovasculaires, tels les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. [...] dans le cadre de l'étude TARGET, la dose de Prexige était quatre fois supérieure à celle recommandée au Canada pour l'ostéoarthrite (400 mg plutôt que 100 mg)". De plus, la compagnie innove en lançant une étude de pharmacovigilance qui permettra de surveiller 20 000 patients au Canada sur une période de 2 ans.

Du côté tolérabilité gastro-intestinale, à la lumière des données disponibles actuellement, le lumiracoxib semble posséder les mêmes propriétés que les autres COX-2 dont le celecoxib.

Le dosage recommandé au Canada de 100 mg DIE s'est avéré d'une efficacité semblable au celecoxib 200 mg DIE dans le traitement de la douleur arthrosique au genou. Pas plus, pas moins.

Or, en 2004, lors de mon trimestre clinique, j'avais fait une présentation sur les nouveaux coxibs qui devaient être mis sur le marché dans les mois qui suivaient. Suite à la saga du Vioxx, 3 des 4 médicaments dont je traitais n'ont jamais vu le jour au Canada; le Prexige sera le premier de ceux-là à être commercialisé. Selon les données disponibles à cette époque, une dose de lumiracoxib de 400 mg DIE avait une efficaccité semblable au diclofenac 75 mg BID dans le traitement de la douleur due à l'arthrose, alors que le lumiracoxib à des doses inférieures (50, 100 ou 200 mg BID) étaient inférieures au diclofénac 75 mg BID.

Devrons-nous donc sacrifier une efficacité supérieure pour s'assurer d'une bonne tolérabilité ? Le seul avantage que semble présenter le Prexige par rapport au Celebrex semble pour l'instant être le fait qu'il ne possède pas de groupement sulfamidé, ce qui lui permetttrait d'être administré sans risque aux patients allergiques aux sulfas.

Tous les renseignements sur le Prexige sont disponibles dans sa monographie disponible en cliquant ici.

14 novembre 2006

Entendu à ma pharmacie

"Je voudrais renouveler ma crème... euh... Clitoderm ?"

Merci pour les commentaires

Merci à Mathieu et Patrick pour avoir laissé les premiers commentaires sur le site. Très pertinents en plus, allez les lire !

Revenez fréquemment consulter le site, puisque de nouveaux articles seront ajoutés sur une base régulière auxquels vous pourrez réagir vous-aussi !

Pour ce faire, vous n'avez qu'à cliquer sur le lien "Commentaires" à la toute fin des articles et vous serez publiés automatiquement. Rien de compliqué !

13 novembre 2006

Nouveauté: Flomax CR

Merci à Marie-Ève Bélanger pour cette infolettre sur le Flomax CR qu'elle a réalisé pour le CIM. Vous pourrez donc faire votre propre avis à savoir si c'est une révolution dans le monde de la tamsulosine ou une simple crosse de brevet en prévision d'une sortie prochaine d'un générique...



Flomax CR® (chlorhydrate de tamsulosine)

Information générale
Le Flomax CR®, en comprimé, est disponible depuis le 24 septembre 2006. L’ancienne formulation en capsule, Flomax®, continue d’être envoyée aux grossistes. La date à laquelle la compagnie Boehringer Ingelheim va discontinuer définitivement son ancien produit ne peut malheureusement pas, pour le moment, être estimée. Les deux produits sont au formulaire de la régie pour le moment. Les prix unitaires pour une dose de 0,4 mg sont de 0,60$ pour le Flomax CR® et de 0,95$ pour le Flomax®.

Description
Antagoniste des récepteurs α1-adrénergiques, utilisé dans le traitement des signes et symptômes de l’hyperplasie bénigne de la prostate.

Comprimé de 0,4 mg (plus petit et plus facile à avaler que l’ancienne capsule). Nouvelle préparation basée sur le système OCAS® (Oral-Controlled Absorption System), technologie brevetée de libération prolongée contrôlée par matrice de gel, pour assurer une libération plus soutenue et une exposition adéquate sur 24 heures.

Posologie
1 comprimé, 0,4 mg, une fois par jour à la même heure chaque jour. Peut être pris avec ou sans nourriture, à n’importe quel moment de la journée ou de la soirée.

La monographie du Flomax CR® recommande une dose maximale de 0,4 mg par jour. Les études réalisées avec des doses de 0,4 mg, 0,8 mg et 1,2 mg n’ont pas émontré d’avantages sur le plan clinique avec des doses supérieures à 0,4 mg, mais cependant, une hausse des effets indésirables a été notée.

Pour les patients qui prennent 0,8 mg par jour de la formulation régulière, il n’y a pas de conversion particulière suggérée. Selon le médecin traitant, le Flomax CR® pourra être tenté à 0,4 mg par jour. Cette dose pourra être réévaluée au besoin. Il est possible que certains prescripteurs, selon la sévérité de la symptomatologie du patient, décident de débuter le Flomax CR® à 0,8 mg une fois par jour chez certains patients, même s’il n’y a pas d’évidence dans la littérature pour le moment avec ce dosage.

Effets indésirables
Les deux effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les études, soit les étourdissements et l’éjaculation anormale, sont comparables au placebo avec une dose de 0,4 mg par jour en comprimé (Flomax CR®) et moins élevés qu’avec la capsule (Flomax®). L’incidence d’étourdissements était de 1,7% avec la capsule, de 1,4% avec le comprimé et de 1,4% avec le placebo. L’incidence d’éjaculation anormale était de 3,1% avec la capsule, de 1,9% avec le comprimé et de 0,3% avec le placebo.

Une tendance vers un meilleur profil d’effets indésirables a donc été notée avec le Flomax CR® et serait en partie attribuable à une concentration plasmatique maximale de tamsulosine moins élevée avec la nouvelle formulation, qui entraîne un effet significativement moins important sur la tension artérielle en position couchée du comprimé par rapport à l’ancienne capsule.

Conversion du Flomax® régulier au Flomax CR®
La première dose du comprimé de Flomax CR® peut être prise le jour suivant la dernière dose de l’antagoniste des récepteurs α1-adrénergiques actuel (y compris la capsule de Flomax®). Aucune interruption thérapeutique n’est nécessaire.

Comme le comprimé de Flomax CR® n’est pas bioéquivalent à la capsule de Flomax® (pharmacocinétique modifiée), une prescription du médecin est nécessaire pour effectuer le changement chez les patients.

Marie-Ève Bélanger, résidente en pharmacie,
pour l’équipe du CIM (octobre 2006)


Références : Boehringer Ingelheim (Canada) Ltee 2006. Monographie du Flomax CR®, Speakman M. Efficay and safety of tamsulosin OCAS. BJU Int.2006;98(2):13-7 (PMID 16984492), Chapple CR, Chartier-Kastler E.Pharmacokinetic profile of tamsulosine OCAS. BJU Int.2006;98(2):9-12 (PMID 16984491). Site de la régie de l’assurance maladie (consulté le 25 octobre 2006).

08 novembre 2006

Le duct tape pour traiter les verrues

Il y a quelques années, j'avais entendu parler de ce truc d'utiliser un duct tape pour traiter les verrues; je me suis donc intéressé à savoir comment cette technique fonctionnait et ses résultats. J'ai trouvé une étude intitulée "The Efficacy of Duct Tape vs Cryotherapy in the Treatment of Verruca Vulgaris (the Common Wart)" publiée en 2002 dans le "Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine".

Les 61 patients étudiés (dont 51 ont terminé l'étude) étaient âgés entre 3 et 22 ans et randomisés dans 2 groupes: le groupe traité à la cryothérapie recevait des applications d'azote liquide pendant 10 secondes aux 2 à 3 semaines pour un maximum de 6 traitements, alors que le groupe traité avec le duct tape devait coller de petites pièces de ce ruban sur leurs verrues pour une durée de 6 jours. Après cette période, ils devaient enlever le ruban, imbiber la verrue avec de l'eau, passer la pierre ponce, laisser la verrue à l'air libre pour la nuit avant de réappliquer le duct tape pour un autre 6 jours. Le tout durait 2 mois ou jusqu'à résolution de la verrue. Évidemment, si le duct tape tombait, ils devaient le réappliquer le plus rapidement possible.

Les résultats sont surprenants: 85% des verrues traitées à l'aide de la technique du duct tape furent complètement résolues comparativement à 60% avec la cryothérapie. La plupart des résolutions ont eu lieu dans les 28 premiers jours de thérapie. Les principales difficultés étaient de faire tenir en place le duct tape et des irritaions mineures de la peau. Les auteurs en ont conclu que la thérapie au duct tape se révélait plus efficace que la cryothérapie, coûtait beaucoup moins chère et provoquait moins de douleur que l'azote liquide.

Voilà qui pourrait se révéler une alternative aux traitement à l'acide salicylique qui ne sont pas toujours d'une grande efficacité et qui peuvent finir par coûter cher lorsque le traitement se prolonge... La solution résiderait-elle dans ce bon vieux tape gris qu'on peut retrouver dans n'importe quelle quincaillerie ?

Pour l'instant, de mon côté, disons que je serais un peu mal à l'aise de proposer cette thérapie aux patients qui viennent me demander mon opinion pour le traitement de leurs verrues... Et vous ? Seriez-vous prêts à conseiller le duct tape pour traiter les verrues ? En premier choix ou comme alternative ? Malgré qu'une petite étude vienne nous en démontrer l'utilité, est-ce vraiment professionnel d'offrir une solution aussi... particulière ?

À vous de jouer, j'attend vos commentaires. Vous n'avez qu'à cliquer sur "Commentaires" ci-dessous pour partager votre opinion !

07 novembre 2006

Comment s'abonner à la newsletter mensuelle ?

Un courriel est envoyé mensuellement aux intéressés pour leur faire part des meilleurs publications du blog. But avoué: être meilleur que la maudite newsletter plate de Mon portail pharmacie. Alors si vous voulez recevoir ce courriel vous-aussi, envoyez-moi votre adresse au ffrederickdubois@hotmail.com.

Comment faire une recherche sur le site ?

Pour rechercher un article parmi tout ce qui sera publié sur le blog, il vous suffit d'inscrire votre mot clé dans la case en haut. Par exemple, vous vous demandez si quelqu'un a déjà publié quelque chose concernant le Viagra, inscrivez "Viagra" ou "sildénafil" dans la case, appuyer sur "Search this blog" et laissez la magie de Google faire la recherche à travers tout le site. Pas très utile pour l'instant, j'en conviens, mais ça sera sûrement bien pratique lorsque le site sera un peu plus étoffé...

Comment collaborer ?

Le PharmaBlog a besoin de votre collaboration pour exister. Évidemment, vous pouvez simplement laisser des commentaires ou des compléments d'information très facilement pour chaque article publié, mais nous avons besoin de participants actifs pour ajouter des articles de manière régulière.

Vous verrez au cours des prochains jours la tangente que prendra le PharmaBlog, le type d'articles, d'informations et d'opinions qu'on y trouvera. Si vous décidez alors d'y participer à titre de collaborateur régulier, écrivez-moi au ffrederickdubois@hotmail.com et je vous ajouterai comme membre. Il vous sera alors possible d'envoyer des articles qui seront publiés automatiquement sur le site.

06 novembre 2006

Qu'est-ce que le PharmaBlog ?

Bienvenue sur le PharmaBlog ! Le PharmaBlog est un blog créé par des pharmaciens à l'intention des pharmaciens.

Nous voulons y présenter l'actualité de la profession et de l'industrie, les nouveautés sur le marché, des connaissances que nous souhaitons partager, des réponses à nos questions, des trucs, des anecdotes, etc. Le tout à la bonne franquette, avec un regard souvent critique, parfois sarcastique, loin des formules épurées des publications officielles. Toutes les opinions formulées sur ce site ne sont endossées que par leurs auteurs.

C'est donc un site à consulter le plus souvent possible et auquel vous devriez participer activement... Bonne lecture !