The Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada(SOGC)and the Motherisk Program jointly released updated clinical guidelines on folic acid supplementation for women planning to have children. Folic acid has been well known to prevent neural tube defects(NTDs)in babies. New evidence also suggests folic acid supplementation reduces the incidence of congenital heart disease, urinary tract problems, oral facial clefts, limb defects, and some pediatric cancers. Some women, however, will need 5 mg of folic acid daily, rather than the 1mg included in most prenatal vitamins. Women planning to become pregnant should increase their intake of folic acid and add a multi-vitamin supplement at least three months before they conceive. If women wait until they have a positive pregnancy test before starting supplementation, it will be too late to reap the full protective benefit folic acid can provide. Folic acid helps produce and maintain new cells, and is important during the early embryonic and fetal periods when rapid cell division and growth are occurring.
Dosage recommendations
Women with no personal health risks, planned pregnancy, and good compliance require a good diet of folate-rich foods and a daily supplementation with a multivitamin with folic acid(0.4–1.0 mg)for at least two to three months before conception and throughout pregnancy and during the postpartum period(4–6 weeks and as long as breastfeeding continues).
Women with compromised health, insulin dependent diabetes, obesity, or those with a previous child in the family with a neural tube defect require increased dietary intake of folate-rich foods and daily supplementation, with multivitamins with 5 mg folic acid, beginning at least three months before conception and continuing until 10 to 12 weeks post conception. From 12 weeks post-conception and continuing throughout pregnancy and for four to six weeks after the baby is born(or as long as breastfeeding continues), supplementation should consist of a multivitamin with folic acid(0.4–1.0 mg).
Women with a variable diet, no consistent birth control, and possible substance use should be counseled regarding prevention of birth defects and health problems via folic acid and multivitamin supplementation and it is recommended that they also receive folic acid 5 mg with a multivitamin.
All women should be counseled not to take more than the daily recommended dosage of multivitamin indicated on the product label.
Foods that are a good source of folic acid include fortified grains, spinach, lentils, chick peas, asparagus, broccoli, peas, Brussels sprouts, corn, and oranges. However, it is unlikely that diet alone can provide the levels recommended for those planning to have children.
The Guidelines also urge the federal government to consider nearly doubling the level of folic acid fortification currently applied to a range of flour products. This recommendation is controversial in view of recent findings that high levels of folic acid in older people appear to lead to an increased risk of bowel cancer. In 1998 Canada added folic acid to white flour, pasta and cornmeal. An increase in bowel cancer was seen corresponding to these changes. The U.S. also reported an increase in bowel cancer rates when they fortified nutritional products with folic acid. The U.K. has put their decision to fortify food products on hold in view of these reports.
Reference:
Society of Obstetrics and Gynecology of Canada. Media Advisory. New Recommendations May Significantly Reduce Birth Defects in Canada. www.sogc.org/media/advisories-20071212_e.asp(accessed December 13, 2007)
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20 janvier 2008
Cialis approved for once-a-day use
In late January 2008, Eli Lilly plans to introduce two new lower strengths of Cialis (tadalafil). The new 2.5 mg and 5 mg tablets are indicated for daily continuous use in managing male erectile dysfunction. The recommended dosage for daily use is 5 mg once daily, taken with or without food at approximately the same time each day. The dosage may be reduced to 2.5 mg once daily, depending on patient tolerability.
No dosage adjustment is needed when Cialis once-a-day tablets are used in combination with alpha-blockers, protease inhibitors (e.g., ritonavir) or other potent CYP3A4 inhibitors (e.g., ketoconazole). Dosage adjustments are also not necessary in patients with mild to moderate renal or hepatic impairment.
The new lower strengths will join the existing 10 mg and 20 mg tablets. The higher (10 mg and 20 mg) tablet strengths are approved only for on-demand dosing; they are taken prior to anticipated sexual activity, but are not intended for continuous daily use.
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No dosage adjustment is needed when Cialis once-a-day tablets are used in combination with alpha-blockers, protease inhibitors (e.g., ritonavir) or other potent CYP3A4 inhibitors (e.g., ketoconazole). Dosage adjustments are also not necessary in patients with mild to moderate renal or hepatic impairment.
The new lower strengths will join the existing 10 mg and 20 mg tablets. The higher (10 mg and 20 mg) tablet strengths are approved only for on-demand dosing; they are taken prior to anticipated sexual activity, but are not intended for continuous daily use.
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15 janvier 2008
Vous devriez continuer à allaiter
Maladie chez la mère
Très peu de maladies de la mère nécessitent une interruption de l'allaitement. C'est particulièrement vrai des maladies infectieuses, soit celles pour lesquelles on dit le plus souvent à la mère d'arrêter d'allaiter. La plupart des infections sont causées par des virus. Dans la majorité des infections virales, la mère est contagieuse avant même de se rendre compte qu'elle est malade. Quand la fièvre (ou le rhume, l'écoulement nasal, la diarrhée, les vomissements, les éruptions cutanées, etc.) se manifeste chez la mère, l'infection a déjà été transmise au bébé. Comme l'allaitement protège le nourrisson contre l'infection, la mère doit poursuivre l'allaitement pour le protéger. Si le bébé tombe malade, ce qui est possible, il le sera moins gravement que s'il n'était plus allaité. Mais souvent, les mères constatent avec joie que leur enfant n'est même pas malade. Il a été protégé par le lait maternel. Les infections bactériennes (comme les streptococques) ne posent aucun problème elles non plus.
La seule exception définitive, c'est la séropositivité pour le VIH chez la mère. En attendant d'en savoir davantage, on estime qu'une mère séropositive ne devrait pas allaiter, du moins quand les risques associés au lait artificiel sont acceptables. Il y a toutefois des circonstances, même au Canada, où les risques de ne pas allaiter sont suffisamment élevés pour que l'allaitement ne soit pas forcément déconseillé. Sur ce sujet, beaucoup de questions sont encore sans réponse. En fait, une étude récente a démontré que l'allaitement exclusif protégeait mieux le bébé contre la contamination par le VIH que l'alimentation au lait artificiel, et que le risque le plus élevé de transmission verticale était associé à l'alimentation mixte (lait maternel + lait artificiel). Ces résultats demandent à être confirmés.
Les anticorps du lait maternel
Certaines mères souffrent de maladies « auto-immunes », comme le purpura thrombopénique idiopathique, les maladies thyroïdiennes auto-immunes et de nombreuses autres. Ces maladies se caractérisent par le fait que l’organisme fabrique des anticorps contre ses propres tissus. On a conseillé à certaines mères de cesser d'allaiter parce que ces anticorps passent dans le lait et pourraient rendre leur bébé malade. C’est incroyablement insensé.
La majeure partie des anticorps du lait maternel sont des IgA, des immunoglobulines sécrétoires. Les maladies auto-immunes ne sont pas causées par les IgA. Et même si elles l’étaient, les IgA sécrétoires ne sont pas absorbées par le bébé. La question est donc sans objet. La mère doit continuer à allaiter.
Nouvelle grossesse
Nul besoin de cesser d’allaiter en cas de grossesse. Rien ne prouve que cela nuira à la mère, au fœtus ou au bébé allaité. Si la mère veut arrêter d’allaiter, elle peut prendre son temps et sevrer son bébé en douceur, quoique la production lactée est souvent plus basse durant la grossesse, et certains bébés cesseront de téter de leur propre initiative.
Maladie chez le bébé
Il est rare que le sevrage soit nécessaire à cause d'une maladie chez l'enfant. Grâce à l'allaitement, la mère peut réconforter son enfant malade, et en tétant l'enfant réconforte sa mère.
Diarrhées et vomissements.
Les infections gastro-intestinales sont rares chez les bébés exclusivement allaités. (Toutefois les selles molles ou liquides sont normales et très courantes chez les bébés exclusivement allaités.) Si un tel problème survient, le meilleur traitement est de poursuivre l'allaitement. Le bébé guérira plus rapidement s'il est allaité. Dans la grande majorité des cas, le bébé guérira rapidement avec le lait maternel seulement, et n'a pas besoin de soi-disant solutions de réhydratation, sauf dans des cas extraordinaires.
Maladies respiratoires.
D'après un mythe, il ne faudrait pas donner de lait aux enfants souffrant d'infections respiratoires. Que ce soit vrai ou non pour les autres laits, c'est certainement faux pour le lait maternel.
La jaunisse (ictère).
Les bébés exclusivement allaités présentent fréquemment une jaunisse pouvant même durer jusqu'à trois mois, toutefois la pigmentation jaune de la peau est peu visible à l'examen clinique. C'est tout à fait normal. Il existe des jaunisses pathologiques mais, sauf dans de très rares cas, elles ne nécessitent pas l'interruption de l'allaitement. Si l'allaitement se passe bien, la jaunisse n'est pas en soi une raison suffisante pour l'interrompre. En revanche, s'il y a un problème d'allaitement, sa correction peut améliorer la jaunisse; la suspension de l'allaitement, même pour peu de temps, risque d'être irréversible. Suspendre l'allaitement n'est ni une solution, ni une bonne idée.
Le bébé malade n'a pas moins besoin d'être allaité, il en a plus besoin !
En cas de problème non abordé ci-dessus, il ne faut pas supposer à priori qu'il faut arrêter l'allaitement mais continuer à allaiter et se renseigner. On a recommandé à des mères de sevrer leur enfant pour des raisons trop stupides pour qu'on en parle.
Tiré du site La Calinerie
Très peu de maladies de la mère nécessitent une interruption de l'allaitement. C'est particulièrement vrai des maladies infectieuses, soit celles pour lesquelles on dit le plus souvent à la mère d'arrêter d'allaiter. La plupart des infections sont causées par des virus. Dans la majorité des infections virales, la mère est contagieuse avant même de se rendre compte qu'elle est malade. Quand la fièvre (ou le rhume, l'écoulement nasal, la diarrhée, les vomissements, les éruptions cutanées, etc.) se manifeste chez la mère, l'infection a déjà été transmise au bébé. Comme l'allaitement protège le nourrisson contre l'infection, la mère doit poursuivre l'allaitement pour le protéger. Si le bébé tombe malade, ce qui est possible, il le sera moins gravement que s'il n'était plus allaité. Mais souvent, les mères constatent avec joie que leur enfant n'est même pas malade. Il a été protégé par le lait maternel. Les infections bactériennes (comme les streptococques) ne posent aucun problème elles non plus.
La seule exception définitive, c'est la séropositivité pour le VIH chez la mère. En attendant d'en savoir davantage, on estime qu'une mère séropositive ne devrait pas allaiter, du moins quand les risques associés au lait artificiel sont acceptables. Il y a toutefois des circonstances, même au Canada, où les risques de ne pas allaiter sont suffisamment élevés pour que l'allaitement ne soit pas forcément déconseillé. Sur ce sujet, beaucoup de questions sont encore sans réponse. En fait, une étude récente a démontré que l'allaitement exclusif protégeait mieux le bébé contre la contamination par le VIH que l'alimentation au lait artificiel, et que le risque le plus élevé de transmission verticale était associé à l'alimentation mixte (lait maternel + lait artificiel). Ces résultats demandent à être confirmés.
Les anticorps du lait maternel
Certaines mères souffrent de maladies « auto-immunes », comme le purpura thrombopénique idiopathique, les maladies thyroïdiennes auto-immunes et de nombreuses autres. Ces maladies se caractérisent par le fait que l’organisme fabrique des anticorps contre ses propres tissus. On a conseillé à certaines mères de cesser d'allaiter parce que ces anticorps passent dans le lait et pourraient rendre leur bébé malade. C’est incroyablement insensé.
La majeure partie des anticorps du lait maternel sont des IgA, des immunoglobulines sécrétoires. Les maladies auto-immunes ne sont pas causées par les IgA. Et même si elles l’étaient, les IgA sécrétoires ne sont pas absorbées par le bébé. La question est donc sans objet. La mère doit continuer à allaiter.
Nouvelle grossesse
Nul besoin de cesser d’allaiter en cas de grossesse. Rien ne prouve que cela nuira à la mère, au fœtus ou au bébé allaité. Si la mère veut arrêter d’allaiter, elle peut prendre son temps et sevrer son bébé en douceur, quoique la production lactée est souvent plus basse durant la grossesse, et certains bébés cesseront de téter de leur propre initiative.
Maladie chez le bébé
Il est rare que le sevrage soit nécessaire à cause d'une maladie chez l'enfant. Grâce à l'allaitement, la mère peut réconforter son enfant malade, et en tétant l'enfant réconforte sa mère.
Diarrhées et vomissements.
Les infections gastro-intestinales sont rares chez les bébés exclusivement allaités. (Toutefois les selles molles ou liquides sont normales et très courantes chez les bébés exclusivement allaités.) Si un tel problème survient, le meilleur traitement est de poursuivre l'allaitement. Le bébé guérira plus rapidement s'il est allaité. Dans la grande majorité des cas, le bébé guérira rapidement avec le lait maternel seulement, et n'a pas besoin de soi-disant solutions de réhydratation, sauf dans des cas extraordinaires.
Maladies respiratoires.
D'après un mythe, il ne faudrait pas donner de lait aux enfants souffrant d'infections respiratoires. Que ce soit vrai ou non pour les autres laits, c'est certainement faux pour le lait maternel.
La jaunisse (ictère).
Les bébés exclusivement allaités présentent fréquemment une jaunisse pouvant même durer jusqu'à trois mois, toutefois la pigmentation jaune de la peau est peu visible à l'examen clinique. C'est tout à fait normal. Il existe des jaunisses pathologiques mais, sauf dans de très rares cas, elles ne nécessitent pas l'interruption de l'allaitement. Si l'allaitement se passe bien, la jaunisse n'est pas en soi une raison suffisante pour l'interrompre. En revanche, s'il y a un problème d'allaitement, sa correction peut améliorer la jaunisse; la suspension de l'allaitement, même pour peu de temps, risque d'être irréversible. Suspendre l'allaitement n'est ni une solution, ni une bonne idée.
Le bébé malade n'a pas moins besoin d'être allaité, il en a plus besoin !
En cas de problème non abordé ci-dessus, il ne faut pas supposer à priori qu'il faut arrêter l'allaitement mais continuer à allaiter et se renseigner. On a recommandé à des mères de sevrer leur enfant pour des raisons trop stupides pour qu'on en parle.
Tiré du site La Calinerie
11 janvier 2008
Lait maternisé Personnelle
Pour tous ceux qui travaillent dans des Jean Coutu, vous avez peut-être remarqué qu'il y a maintenant un lait maternisé de marque Personnelle. Après nous être informés chez Jean Coutu, nous avons appris que ce lait avait un ratio caséine/lactosérum semblable au lait Enfamil, même si le design de l'emballage est copié sur Similac. Toutefois, les ingrédients n'étant pas identiques, le lait maternisé Personnelle n'est pas équivalent à aucun autre lait maternisé sur les tablettes.
10 janvier 2008
Le cannabis nuit gravement à la santé respiratoire
Le cannabis est la substance la plus fumée dans le monde occidental juste après le tabac. Si l’élément responsable de l’effet psychostimulant est le THC, la fumée de cannabis, tout comme celle du tabac, est un mélange de composés chimiques divers (hydrocarbures polycycliques aromatiques, monoxyde de carbone, cyanure, benzène…).
Une récente revue systématique de la littérature a identifié 34 publications pertinentes sur l’effet à court et long terme de la fumée de cannabis sur la fonction pulmonaire. Leurs conclusions sont parfois contradictoires. La mise en œuvre de telles études est compliquée en raison d’un recrutement difficile et de l’association fréquente d’un tabagisme.
Un nouveau travail mené en Nouvelle-Zélande a comparé la fonction pulmonaire et les scanners thoraciques de 75 fumeurs de cannabis seul, 91 fumeurs à la fois de tabac et de cannabis et 92 fumeurs de tabac à ceux de 92 sujets non fumeurs. Les fumeurs de cannabis ont tendance à fumer moins de tabac que les fumeurs du tabac seul. Il est cependant probable que les effets délétères du cannabis s’ajoutent à ceux du tabac…
Les résultats de cette étude montrent une relation dose-dépendante entre la consommation de cannabis et le degré d’obstruction et d’hyperinflation pulmonaire.
Un joint de cannabis avait ainsi le même effet sur le VEMS que 2 cigarettes et demi et sur la conductance aérienne spécifique que 6 cigarettes.
Cependant aucune association n’a été mise en évidence entre l’utilisation de cannabis et la présence d’un emphysème macroscopique au scanner.
Cette étude confirme dont l’effet délétère du cannabis sur la fonction pulmonaire (obstruction des voies aériennes proximales et « hyperinflation » mais pas d’emphysème) et sur les symptômes respiratoires (sifflements, toux, oppression thoracique et hypersécrétion).
Tiré du JIM
Une récente revue systématique de la littérature a identifié 34 publications pertinentes sur l’effet à court et long terme de la fumée de cannabis sur la fonction pulmonaire. Leurs conclusions sont parfois contradictoires. La mise en œuvre de telles études est compliquée en raison d’un recrutement difficile et de l’association fréquente d’un tabagisme.
Un nouveau travail mené en Nouvelle-Zélande a comparé la fonction pulmonaire et les scanners thoraciques de 75 fumeurs de cannabis seul, 91 fumeurs à la fois de tabac et de cannabis et 92 fumeurs de tabac à ceux de 92 sujets non fumeurs. Les fumeurs de cannabis ont tendance à fumer moins de tabac que les fumeurs du tabac seul. Il est cependant probable que les effets délétères du cannabis s’ajoutent à ceux du tabac…
Les résultats de cette étude montrent une relation dose-dépendante entre la consommation de cannabis et le degré d’obstruction et d’hyperinflation pulmonaire.
Un joint de cannabis avait ainsi le même effet sur le VEMS que 2 cigarettes et demi et sur la conductance aérienne spécifique que 6 cigarettes.
Cependant aucune association n’a été mise en évidence entre l’utilisation de cannabis et la présence d’un emphysème macroscopique au scanner.
Cette étude confirme dont l’effet délétère du cannabis sur la fonction pulmonaire (obstruction des voies aériennes proximales et « hyperinflation » mais pas d’emphysème) et sur les symptômes respiratoires (sifflements, toux, oppression thoracique et hypersécrétion).
Tiré du JIM
Revealed: The Seven Great "Medical Myths"
Two U.S. researchers took seven common beliefs and searched the archives for evidence to support them.
Despite frequent mentions in the popular press of the need to drink eight glasses of water, they found no scientific basis for the claim.
The complete lack of evidence has been recorded in a study published the American Journal of Psychology, they said.
The other six "myths" are:
* Reading in dim light ruins your eyesight
The majority of eye experts believe it is unlikely to do any permanent damage, but it may make you squint, blink more and have trouble focusing, the researchers said.
* Shaving makes hair grow back faster or coarser
It has no effect on the thickness or rate of hair regrowth, studies say. But stubble lacks the finer taper of unshaven hair, giving the impression of coarseness.
* Eating turkey makes you drowsy
It does contain an amino acid called tryptophan that is involved in sleep and mood control. But turkey has no more of the acid than chicken or minced beef. Eating lots of food and drink at Christmas are probably the real cause of sleepiness.
* We use only 10 percent of our brains
This myth arose as early as 1907 but imaging shows no area of the brain is silent or completely inactive.
* Hair and fingernails continue to grow after death
This idea may stem from ghoulish novels. The researchers said the skin dries out and retracts after death, giving the appearance of longer hair or nails.
* Mobile phones are dangerous in hospitals
Despite widespread concerns, studies have found minimal interference with medical equipment.
Tiré de Medscape
Despite frequent mentions in the popular press of the need to drink eight glasses of water, they found no scientific basis for the claim.
The complete lack of evidence has been recorded in a study published the American Journal of Psychology, they said.
The other six "myths" are:
* Reading in dim light ruins your eyesight
The majority of eye experts believe it is unlikely to do any permanent damage, but it may make you squint, blink more and have trouble focusing, the researchers said.
* Shaving makes hair grow back faster or coarser
It has no effect on the thickness or rate of hair regrowth, studies say. But stubble lacks the finer taper of unshaven hair, giving the impression of coarseness.
* Eating turkey makes you drowsy
It does contain an amino acid called tryptophan that is involved in sleep and mood control. But turkey has no more of the acid than chicken or minced beef. Eating lots of food and drink at Christmas are probably the real cause of sleepiness.
* We use only 10 percent of our brains
This myth arose as early as 1907 but imaging shows no area of the brain is silent or completely inactive.
* Hair and fingernails continue to grow after death
This idea may stem from ghoulish novels. The researchers said the skin dries out and retracts after death, giving the appearance of longer hair or nails.
* Mobile phones are dangerous in hospitals
Despite widespread concerns, studies have found minimal interference with medical equipment.
Tiré de Medscape
Des chercheurs identifient une cible contre les allergies graves
Le 2 janvier 2008
Une étude menée par des Canadiens a confirmé qu'un enzyme sanguin semble amoindrir la gravité des réactions allergiques, ce qui pourrait représenter une bonne piste pour la création d'un médicament contre les allergies alimentaires potentiellement mortelles comme celles aux arachides ou aux fruits de mer, ou certaines réactions déclenchées par des médicaments ou des piqûres d'insectes.
Le rôle de cet enzyme aurait été démontré dans des recherches sur les animaux, mais cette nouvelle recherche est la première à confirmer le phénomène chez les humains.
Elle démontre que les gens qui ont des allergies potentiellement mortelles et qui ont de faibles niveaux d'acyl-hydrolase du PAF dans leur sang ont des réactions allergiques plus intenses que les gens avec des niveaux élevés d'acyl-hydrolase du PAF.
Selon le chercheur principal, Peter Vadas, l'acyl-hydrolase du PAF élimine un produit chimique appelé facteur d'activation des plaquettes, ou PAF, lequel est produit pendant une réaction allergique. Les gens avec un plus faible niveau de l'enzyme ne peuvent neutraliser le PAF assez rapidement pour prévenir une réaction allergique intense.
Si ces conclusions sont corroborées par d'autres scientifiques, elles pourraient aussi être utilisées pour aider à quantifier les risques pour les personnes avec des allergies graves.
Selon lui, cette étude pourrait ouvrir la porte au développement d'un médicament qui pourrait être pris par des personnes atteintes d'allergies graves sur une base quotidienne pour les protéger contre d'éventuelles expositions aux produits qui causent leurs réactions.
Nouvelles de © La Presse Canadienne, 2008.
Tiré du site Passeport Santé
Une étude menée par des Canadiens a confirmé qu'un enzyme sanguin semble amoindrir la gravité des réactions allergiques, ce qui pourrait représenter une bonne piste pour la création d'un médicament contre les allergies alimentaires potentiellement mortelles comme celles aux arachides ou aux fruits de mer, ou certaines réactions déclenchées par des médicaments ou des piqûres d'insectes.
Le rôle de cet enzyme aurait été démontré dans des recherches sur les animaux, mais cette nouvelle recherche est la première à confirmer le phénomène chez les humains.
Elle démontre que les gens qui ont des allergies potentiellement mortelles et qui ont de faibles niveaux d'acyl-hydrolase du PAF dans leur sang ont des réactions allergiques plus intenses que les gens avec des niveaux élevés d'acyl-hydrolase du PAF.
Selon le chercheur principal, Peter Vadas, l'acyl-hydrolase du PAF élimine un produit chimique appelé facteur d'activation des plaquettes, ou PAF, lequel est produit pendant une réaction allergique. Les gens avec un plus faible niveau de l'enzyme ne peuvent neutraliser le PAF assez rapidement pour prévenir une réaction allergique intense.
Si ces conclusions sont corroborées par d'autres scientifiques, elles pourraient aussi être utilisées pour aider à quantifier les risques pour les personnes avec des allergies graves.
Selon lui, cette étude pourrait ouvrir la porte au développement d'un médicament qui pourrait être pris par des personnes atteintes d'allergies graves sur une base quotidienne pour les protéger contre d'éventuelles expositions aux produits qui causent leurs réactions.
Nouvelles de © La Presse Canadienne, 2008.
Tiré du site Passeport Santé
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